Je pense que vous vous trompez...
Il n'y avait rien de surnaturel, rien ne venant de Dieu.
Simplement j'étais bien dans ma peau, dans un lieu calme, Zen, comme on dit, en accord avec les vibrations de la nature dont nous faisons partie.
Tout ramener au religieux, c'est continuer à aller dans le sens des églises qui veulent tout ramener à eux.
Je me sens très près de Dieu sûrement, mais tout ce qui se passe autour de moi est bien naturel.
L'intégrisme amène à la violence, il suffit de regarder ce qui s'est passé entre protestants et catholiques, pas il y a cent ans... en ce moment en Ulster.
La Burka stop... navré, je ne suis pas d'accord.
Les papillons
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la religion
Oh la la, que c'est dur pour moi, je crois que je n'y arriverai jamais, je suis découragée ! Je comprends tout ce que vous me dites, mais il me manque le discernement et que j'ai été toute ma vie sous influence. J'ai été tellement, tellement imprégnée de cette éducation judéo-chrétienne, je me rends compte des dégâts et ça me rends bien triste car je vois que je manque tout simplement de simplicité.
Je ne suis pas intégriste du tout Mr Viard, mais c'est sûr, j'ai été dans une école religieuse toute ma vie, des parents croyants pratiquants à "haute dose" etc.. etc... Ca laisse des traces ! Mais je ne demande pas mieux de comprendre et de changer ma façon de percevoir les choses et je suis bien contente car vous avez commencé à faire le travail avec moi.
Je voudrais trop y arriver, je me sentirais beaucoup plus légère et sereine et heureuse de vivre.
Merci à vous Mr Viard de m'aider,
Je ne suis pas intégriste du tout Mr Viard, mais c'est sûr, j'ai été dans une école religieuse toute ma vie, des parents croyants pratiquants à "haute dose" etc.. etc... Ca laisse des traces ! Mais je ne demande pas mieux de comprendre et de changer ma façon de percevoir les choses et je suis bien contente car vous avez commencé à faire le travail avec moi.
Je voudrais trop y arriver, je me sentirais beaucoup plus légère et sereine et heureuse de vivre.
Merci à vous Mr Viard de m'aider,
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re
Ne vous faites pas de souci, on fait un pas après l'autre.
Une parole d'évangile :
Quand tu étais enfant, tu marchais comme un enfant.
Maintenant tu es grand marche.
Ne soyez pas triste, il faut toujours partir d'un point de départ à chaque vie et petit à petit tout parait plus simple.
L'Esprit souffle alors et tout s'éclaire.
mais ça décoiffe un peu.
Une parole d'évangile :
Quand tu étais enfant, tu marchais comme un enfant.
Maintenant tu es grand marche.
Ne soyez pas triste, il faut toujours partir d'un point de départ à chaque vie et petit à petit tout parait plus simple.
L'Esprit souffle alors et tout s'éclaire.
mais ça décoiffe un peu.
Ca décoiffe !
Superbe réponse qui me convient très bien et très belle photo ! Cet arbre c'est un peu moi qui suis dans la tourmente de mes pensées !!!
C'est bien de m'aider Mr Viard. N'hésitez pas à me bousculer.Merci
Je vous embrasse
C'est bien de m'aider Mr Viard. N'hésitez pas à me bousculer.Merci
Je vous embrasse
Papillons...
Bonsoir,
Sans vouloir vous offenser Benoît, à prendre comme ça vient ; je lis à l'instant p. 81 et 82 du livre (poche) du Père François Brune, "Les morts nous parlent" :
"...pensant aux parents qui ont perdu un enfant, (Elisabeth Kübler Ross) écrit : "C'est là ce que nous pouvons offrir de meilleur, cette certitude que notre corps matériel n'est qu'une chrysalide, une enveloppe, et que la mort fait surgir ce qui, en nous, est indestructible, immortel, et dont le papillon peut être le symbole".
Les enfants du camp de concentration de Majdanek, avant d'entrer dans les chambres à gaz, ont avec leurs ongles, sur les murs, dessiné de petits papillons. Vos enfants, aussi, au moment de mourir, savent qu'ils vont pénétrer, libres, sans encombre, en un lieu où l'on ne souffre plus, un pays de paix et d'amour où le temps n'existe pas et d'où ils pourront vous joindre à la vitesse de la pensée.
Notons qu'en grec, ancien ou moderne, pour dire un "papillon", on dit une "âme" ou inversement, si l'on préfère. C'est le même mot qui désigne les deux."
Je comprends que ce message est, à double titre, adressé à vous Annie.
Je suis pour ma part touchée par cette synchronicité...
Bonne nuit, Caroline.
Sans vouloir vous offenser Benoît, à prendre comme ça vient ; je lis à l'instant p. 81 et 82 du livre (poche) du Père François Brune, "Les morts nous parlent" :
"...pensant aux parents qui ont perdu un enfant, (Elisabeth Kübler Ross) écrit : "C'est là ce que nous pouvons offrir de meilleur, cette certitude que notre corps matériel n'est qu'une chrysalide, une enveloppe, et que la mort fait surgir ce qui, en nous, est indestructible, immortel, et dont le papillon peut être le symbole".
Les enfants du camp de concentration de Majdanek, avant d'entrer dans les chambres à gaz, ont avec leurs ongles, sur les murs, dessiné de petits papillons. Vos enfants, aussi, au moment de mourir, savent qu'ils vont pénétrer, libres, sans encombre, en un lieu où l'on ne souffre plus, un pays de paix et d'amour où le temps n'existe pas et d'où ils pourront vous joindre à la vitesse de la pensée.
Notons qu'en grec, ancien ou moderne, pour dire un "papillon", on dit une "âme" ou inversement, si l'on préfère. C'est le même mot qui désigne les deux."
Je comprends que ce message est, à double titre, adressé à vous Annie.
Je suis pour ma part touchée par cette synchronicité...
Bonne nuit, Caroline.