le voyage astral
Posté : dim. 25 nov. 2012 21:52
Bonjour Benoît , bonjour les guides, j'aimerais connaître svp votre sentiment à propos du texte ci dessous écrit par un professeur de tai chi et chi quong qui vit et enseigne en Suisse
merci infiniment !
Joseph
permettez-moi de raconter une courte mais importante partie de ma vie
Je n’ai plus les dates exactes en tête, mais jusqu’à environ quarante ans, j’étais quelqu’un de très cartésien, qui ne croyait en rien. Pour moi, il était clair que tout ce que l’on ne pouvait pas voir n’existait pas. Totalement athée et agnostique, j’avais la certitude que la mort physique était une fin définitive. Je me souviens par ailleurs d’une fois où mes deux fils qui devait avoir 6 et 9 ans m’avait posé une question sur Dieu, posant mes deux mains sur leurs tête et en prenant un air sérieux, je prononçais cette phrase :
- S’il existe un Dieu ou une vie après la mort, soyez foudroyé dans l’instant.
Un grand sourire sur les lèvres, je retirais mes mains en leur faisant comprendre que tout cela était de la foutaise, et je les éduquais avec ces valeurs qui étaient les miennes à cette époque.
Mais voilà que quelques années plus tard et après la séparation d’avec la mère de mes enfants, je vécus une première expérience perturbante.
Pendant une de mes relaxations, je sentis mon corps qui se mit à vibrer alors qu’il n’y avait aucun mouvement de celui-ci, en plus je ne pouvais plus bouger, et tout à coup je me retrouvais hors de mon corps. La sortie fut extrêmement courte (probablement à cause de ma peur), et ne pouvant toujours pas bouger, ceci se reproduisit deux fois encore.
Si cela était réel, et pour moi, il n’y avait aucun doute, car je ne rêvais pas, toutes mes certitudes s’effondraient. Si une forme de vie était possible sans le corps physique, c’est que la vie de l’individu n’est pas dépendante de celui-ci, alors…
C’est ce que Michel Odoul, appelle : la mort de ma personnalité.
Aussitôt, je téléphonais à la mère de mes enfants, pour lui demander si je pouvais les voir, car j’avais quelque chose à leur dire à tous les trois.
Me retrouvant face à eux, je leur racontais ce qui m’était arrivé et leur confirmais par la même occasion, que je ne croyais plus à la mort, qu’il y avait certainement quelque chose d’autre et que j’annulais tout ce que j’avais dit jusqu’à ce jour à propos de mes croyance.
Evidemment, mes fils me dirent que soit j’avais rêvé, soit j’avais pété un câble. En fait, ils ne faisaient que répéter ce que j’avais toujours prétendu à propos des sorties du corps. Quant à moi, je n’osais plus m’étendre pour pratiquer mes relaxations, car plein de questions se bousculaient dans ma tête, comme par exemple : est-ce que l’on peut toujours revenir ?
J’en aurais pour des pages et des pages à tout raconter, alors permettez-moi de raccourcir au maximum. Deux ou trois semaines après cette aventure, j’amenais mes deux fils pour leurs vacances chez leur grand-mère maternelle, près d’Avignon.
Une fois sur place, alors qu’un repas de grillades se préparait pour mes enfants, mais comme j’étais déjà végétarien, je décidais d’aller manger dans le petit restaurant bio du laboratoire d’huiles essentielles de Nelly Grosjean à Saint-Rémy, et là je tombais sur un journal gratuit bio, et en le feuilletant je lus pour la première fois de ma vie une petite annonce d’un stage de sortie hors du corps. Je téléphonais pour m’inscrire, et comme par hasard, il restait juste une place. Il va sans dire qu’à cette époque je ne savais même pas ce que signifiait le terme « synchronicité ».
En partant à ce stage, j’avais dit à mon amie Martine, que j’avais deux questions par rapport à ma façon de vivre, car pour moi comme on ne vivait qu’une fois, qu’il n’y avait rien ni avant ni après, j’avais toujours été convaincu qu’il fallait s’éclater pendant notre seule et unique vie. Et tout d’un coup, évidemment que si la mort n’existait pas, j’avais peut-être fait des erreurs, il n’y a qu’à voir toute les règles des religions, alors… Mon amie me fit remarquer que mes questions n’avaient rien à voir avec la sortie du corps.
Lors de ce stage, mes croyances prirent encore une fois de sacrées baffes à plusieurs reprises, comme par exemple lorsque Akhena, la personne qui animait le stage, prétendit qu’elle allait canaliser un de ses guides. Alors là, je me dis que c’était la totale et que j’avais vraiment atterrit chez des allumés. Et en plus, elle nous dit qu’à la fin de sa canalisation, elle poserait le micro sur le sol, et que si nous avions des questions, nous pouvions prendre le micro pour les poser. Il fallait que les questions concernent le sujet de la canalisation (la sortie hors du corps) et que ce ne soient pas de questions personnelles. Lorsque son guide sentirait qu’il n’y avait plus de question, il lui dira de reprendre le micro et de clôturer la séance.
Mon mental tournait à cent à l’heure et je me dis que si les guides avaient besoin d’un micro, c’était vraiment n’importe quoi.
La canalisation me surprit quand-même, et les réponses à certaines questions m’impressionnèrent, car parmi les questionneurs il y avait un physicien du CNRS qui posait des questions assez techniques.
Et arriva la fin des questions, le micro était posé, personne ne disait plus rien et le temps passait. Je pensais à mes deux questions, mais je ne pouvais pas les poser, car c’était personnel et ne concernait en rien la sortie du corps.
Et tout à coup, Akhena reprit le micro et dit que son guide voulait répondre à deux questions d’une personne qui était présente mais qui n’osait pas les poser car elles étaient personnelles et ne concernaient pas le sujet. La totale !
Et j’eu les réponses à mes deux questions, je ressenti un frisson qui parcouru tout mon corps, et heureusement, la réponse me confirma que je n’avais pas vécu si faux, ouf.
Ah, au fait, il y avait un micro, parce que la séance était enregistrée pour faire des cassettes, et l’écoute de celle-ci me confirma que je n’avais pas rêvé.
Ce n’est pas directement après ce stage, mais grâce à celui-ci que j’ai pris confiance et j’ai vécu une assez longue période où je sortais presque tous les jours de mon corps, dans cette dimension ou dans d’autres. Lorsque j’en parlais, mes fils me prenaient toujours pour un timbré.
Un jour, j’eu une idée. Nous avions envoyé notre fils cadet, qui avait seize ans, passer six mois dans une école publique au Canada où il était hébergé dans une famille qui ne parlait qu’anglais. Un soir, vers minuit, je lui téléphonais pour savoir comment ça allait, il me dit que la famille était sympa et qu’il passait la soirée avec eux, il devait être 17 ou 18 heure là-bas.
Je raccrochais et décidais d’aller le voir en sortie hors du corps. N’étant jamais allé là-bas, je visualisais son visage pendant le déplacement, et je m’aperçus à mon retour que j’étais resté environ deux heures. Aussitôt, je rappelais mon fils pour lui dire que j’étais venu le voir en sortie hors du corps.
- Arrête papa !!!!
Et là, je lui racontais ce qui c’était passé pendant ces deux heures, comment était la maison et les personnes qui étaient avec lui, et à quel moment (mon fils Nicolas peut le confirmer).
Depuis ce jour mes deux fils me croient, car il a raconté l’histoire à son frère aîné, mais je ne suis plus jamais sorti du corps.
Thierry Chaibi
merci infiniment !
Joseph
permettez-moi de raconter une courte mais importante partie de ma vie
Je n’ai plus les dates exactes en tête, mais jusqu’à environ quarante ans, j’étais quelqu’un de très cartésien, qui ne croyait en rien. Pour moi, il était clair que tout ce que l’on ne pouvait pas voir n’existait pas. Totalement athée et agnostique, j’avais la certitude que la mort physique était une fin définitive. Je me souviens par ailleurs d’une fois où mes deux fils qui devait avoir 6 et 9 ans m’avait posé une question sur Dieu, posant mes deux mains sur leurs tête et en prenant un air sérieux, je prononçais cette phrase :
- S’il existe un Dieu ou une vie après la mort, soyez foudroyé dans l’instant.
Un grand sourire sur les lèvres, je retirais mes mains en leur faisant comprendre que tout cela était de la foutaise, et je les éduquais avec ces valeurs qui étaient les miennes à cette époque.
Mais voilà que quelques années plus tard et après la séparation d’avec la mère de mes enfants, je vécus une première expérience perturbante.
Pendant une de mes relaxations, je sentis mon corps qui se mit à vibrer alors qu’il n’y avait aucun mouvement de celui-ci, en plus je ne pouvais plus bouger, et tout à coup je me retrouvais hors de mon corps. La sortie fut extrêmement courte (probablement à cause de ma peur), et ne pouvant toujours pas bouger, ceci se reproduisit deux fois encore.
Si cela était réel, et pour moi, il n’y avait aucun doute, car je ne rêvais pas, toutes mes certitudes s’effondraient. Si une forme de vie était possible sans le corps physique, c’est que la vie de l’individu n’est pas dépendante de celui-ci, alors…
C’est ce que Michel Odoul, appelle : la mort de ma personnalité.
Aussitôt, je téléphonais à la mère de mes enfants, pour lui demander si je pouvais les voir, car j’avais quelque chose à leur dire à tous les trois.
Me retrouvant face à eux, je leur racontais ce qui m’était arrivé et leur confirmais par la même occasion, que je ne croyais plus à la mort, qu’il y avait certainement quelque chose d’autre et que j’annulais tout ce que j’avais dit jusqu’à ce jour à propos de mes croyance.
Evidemment, mes fils me dirent que soit j’avais rêvé, soit j’avais pété un câble. En fait, ils ne faisaient que répéter ce que j’avais toujours prétendu à propos des sorties du corps. Quant à moi, je n’osais plus m’étendre pour pratiquer mes relaxations, car plein de questions se bousculaient dans ma tête, comme par exemple : est-ce que l’on peut toujours revenir ?
J’en aurais pour des pages et des pages à tout raconter, alors permettez-moi de raccourcir au maximum. Deux ou trois semaines après cette aventure, j’amenais mes deux fils pour leurs vacances chez leur grand-mère maternelle, près d’Avignon.
Une fois sur place, alors qu’un repas de grillades se préparait pour mes enfants, mais comme j’étais déjà végétarien, je décidais d’aller manger dans le petit restaurant bio du laboratoire d’huiles essentielles de Nelly Grosjean à Saint-Rémy, et là je tombais sur un journal gratuit bio, et en le feuilletant je lus pour la première fois de ma vie une petite annonce d’un stage de sortie hors du corps. Je téléphonais pour m’inscrire, et comme par hasard, il restait juste une place. Il va sans dire qu’à cette époque je ne savais même pas ce que signifiait le terme « synchronicité ».
En partant à ce stage, j’avais dit à mon amie Martine, que j’avais deux questions par rapport à ma façon de vivre, car pour moi comme on ne vivait qu’une fois, qu’il n’y avait rien ni avant ni après, j’avais toujours été convaincu qu’il fallait s’éclater pendant notre seule et unique vie. Et tout d’un coup, évidemment que si la mort n’existait pas, j’avais peut-être fait des erreurs, il n’y a qu’à voir toute les règles des religions, alors… Mon amie me fit remarquer que mes questions n’avaient rien à voir avec la sortie du corps.
Lors de ce stage, mes croyances prirent encore une fois de sacrées baffes à plusieurs reprises, comme par exemple lorsque Akhena, la personne qui animait le stage, prétendit qu’elle allait canaliser un de ses guides. Alors là, je me dis que c’était la totale et que j’avais vraiment atterrit chez des allumés. Et en plus, elle nous dit qu’à la fin de sa canalisation, elle poserait le micro sur le sol, et que si nous avions des questions, nous pouvions prendre le micro pour les poser. Il fallait que les questions concernent le sujet de la canalisation (la sortie hors du corps) et que ce ne soient pas de questions personnelles. Lorsque son guide sentirait qu’il n’y avait plus de question, il lui dira de reprendre le micro et de clôturer la séance.
Mon mental tournait à cent à l’heure et je me dis que si les guides avaient besoin d’un micro, c’était vraiment n’importe quoi.
La canalisation me surprit quand-même, et les réponses à certaines questions m’impressionnèrent, car parmi les questionneurs il y avait un physicien du CNRS qui posait des questions assez techniques.
Et arriva la fin des questions, le micro était posé, personne ne disait plus rien et le temps passait. Je pensais à mes deux questions, mais je ne pouvais pas les poser, car c’était personnel et ne concernait en rien la sortie du corps.
Et tout à coup, Akhena reprit le micro et dit que son guide voulait répondre à deux questions d’une personne qui était présente mais qui n’osait pas les poser car elles étaient personnelles et ne concernaient pas le sujet. La totale !
Et j’eu les réponses à mes deux questions, je ressenti un frisson qui parcouru tout mon corps, et heureusement, la réponse me confirma que je n’avais pas vécu si faux, ouf.
Ah, au fait, il y avait un micro, parce que la séance était enregistrée pour faire des cassettes, et l’écoute de celle-ci me confirma que je n’avais pas rêvé.
Ce n’est pas directement après ce stage, mais grâce à celui-ci que j’ai pris confiance et j’ai vécu une assez longue période où je sortais presque tous les jours de mon corps, dans cette dimension ou dans d’autres. Lorsque j’en parlais, mes fils me prenaient toujours pour un timbré.
Un jour, j’eu une idée. Nous avions envoyé notre fils cadet, qui avait seize ans, passer six mois dans une école publique au Canada où il était hébergé dans une famille qui ne parlait qu’anglais. Un soir, vers minuit, je lui téléphonais pour savoir comment ça allait, il me dit que la famille était sympa et qu’il passait la soirée avec eux, il devait être 17 ou 18 heure là-bas.
Je raccrochais et décidais d’aller le voir en sortie hors du corps. N’étant jamais allé là-bas, je visualisais son visage pendant le déplacement, et je m’aperçus à mon retour que j’étais resté environ deux heures. Aussitôt, je rappelais mon fils pour lui dire que j’étais venu le voir en sortie hors du corps.
- Arrête papa !!!!
Et là, je lui racontais ce qui c’était passé pendant ces deux heures, comment était la maison et les personnes qui étaient avec lui, et à quel moment (mon fils Nicolas peut le confirmer).
Depuis ce jour mes deux fils me croient, car il a raconté l’histoire à son frère aîné, mais je ne suis plus jamais sorti du corps.
Thierry Chaibi