Padre Pio
Posté : ven. 22 sept. 2017 13:06
On sait que le capucin de San Giovanni Rotondo ne fut pas épargné par les épreuves que de grandes grâces compensèrent amplement. Mais on connaît moins l’humour dont il était capable !
Prends garde où tu marches !
Un homme était allé jusqu’à San Giovanni Rotondo pour rencontrer Padre Pio, mais il y avait une telle foule sur place qu’il avait dû rentrer chez lui, sans avoir pu le voir. Pendant qu’il s’éloignait du couvent, il sentit le merveilleux parfum qui émanait des stigmates du padre et en fut réconforté.
Quelques mois plus tard, alors qu’il traversait une zone montagneuse, il respira à nouveau le même parfum. Il s’arrêta et demeura quelques instants en extase, humant l’odeur exquise. Quand il revint à lui, il s’aperçut qu’il se trouvait au bord d’un précipice et que sans le parfum du padre, il aurait continué à avancer.
Il décida de se rendre à San Giovanni Rotondo sur le champ, pour remercier Padre Pio. Quand il arriva au couvent, Padre Pio, qui ne l’avait jamais vu, l’interpella en souriant : « Mon fils! Prends garde où tu marches! ».
Sous le matelas
Une femme souffrait de terribles migraines, à tel point qu’elle décida de mettre une photo du Padre Pio sous son oreiller, espérant que sa douleur disparaîtrait. Après plusieurs semaines, la douleur persistain ; emportée par son tempérament italien elle s’exclama : « Eh bien voilà Padre Pio, puisque tu n’as pas voulu me délivrer de ce mal, comme punition je vais te mettre sous le matelas ».
Quelques mois plus tard, elle se rendit à San Giovanni Rotondo pour se confesser au padre. À peine s’était-elle agenouillée devant le confessionnal, que le padre la regarda fixement et claqua le portillon du confessionnal d’un coup sec. La femme resta pétrifiée, elle était clairement dépassée par cette réaction inattendue et ne put articuler un mot. Quelques instants plus tard, le portillon se rouvrait à nouveau et le padre lui dit en souriant : « Cela ne t’a pas plu, n’est-ce pas ? Eh bien moi non plus je n’ai pas apprécié que tu me mettes sous le matelas ! ».
Les conseils du Padre Pio
Un prêtre argentin avait tant entendu parler des conseils du Padre Pio qu’il décida de voyager jusqu’en Italie, dans le seul but de recevoir des recommandations utiles du padre, pour le guider dans sa vie spirituelle. Une fois arrivé, il se confessa auprès du padre et rentra chez lui, sans avoir reçu le moindre conseil.
De retour en Argentine, il était si déçu qu’il ressentait le besoin d’en parler à tout le monde. « Je ne comprends pas pourquoi le Padre ne m’a rien dit », regrettait-il, « Et moi qui ai voyagé depuis l’Argentine, juste pour ça ! » « Padre Pio lit dans les consciences et il savait bien que j’étais venu avec l’espoir de recevoir une de ses recommandations » etc.
Il se plaignait tant que ses paroissiens commencèrent à l’interroger : « Père, êtes-vous certain que Padre Pio ne vous a rien dit ? N’aurait-il pas esquissé quelque geste inhabituel ? « .
Le prêtre réfléchit posément et finalement, se souvint que le Padre Pio lui avait effectivement fait un geste un peu étrange. Il m’a donné la bénédiction finale en faisant le signe de croix extrêmement lentement, tant et si bien que j’avais pensé : cela ne va-t-il jamais se terminer ? », expliqua-t-il à ses fidèles. « Le voilà son conseil ! », s’exclamèrent-ils. « Vous le faites si vite, vous, quand vous nous donnez la bénédiction, que cela ressemble plus à un gribouillis qu’à une croix ». Le prêtre fût enchanté d’avoir finalement reçu un conseil, avec cette touche originale propre à Padre Pio.
Prends garde où tu marches !
Un homme était allé jusqu’à San Giovanni Rotondo pour rencontrer Padre Pio, mais il y avait une telle foule sur place qu’il avait dû rentrer chez lui, sans avoir pu le voir. Pendant qu’il s’éloignait du couvent, il sentit le merveilleux parfum qui émanait des stigmates du padre et en fut réconforté.
Quelques mois plus tard, alors qu’il traversait une zone montagneuse, il respira à nouveau le même parfum. Il s’arrêta et demeura quelques instants en extase, humant l’odeur exquise. Quand il revint à lui, il s’aperçut qu’il se trouvait au bord d’un précipice et que sans le parfum du padre, il aurait continué à avancer.
Il décida de se rendre à San Giovanni Rotondo sur le champ, pour remercier Padre Pio. Quand il arriva au couvent, Padre Pio, qui ne l’avait jamais vu, l’interpella en souriant : « Mon fils! Prends garde où tu marches! ».
Sous le matelas
Une femme souffrait de terribles migraines, à tel point qu’elle décida de mettre une photo du Padre Pio sous son oreiller, espérant que sa douleur disparaîtrait. Après plusieurs semaines, la douleur persistain ; emportée par son tempérament italien elle s’exclama : « Eh bien voilà Padre Pio, puisque tu n’as pas voulu me délivrer de ce mal, comme punition je vais te mettre sous le matelas ».
Quelques mois plus tard, elle se rendit à San Giovanni Rotondo pour se confesser au padre. À peine s’était-elle agenouillée devant le confessionnal, que le padre la regarda fixement et claqua le portillon du confessionnal d’un coup sec. La femme resta pétrifiée, elle était clairement dépassée par cette réaction inattendue et ne put articuler un mot. Quelques instants plus tard, le portillon se rouvrait à nouveau et le padre lui dit en souriant : « Cela ne t’a pas plu, n’est-ce pas ? Eh bien moi non plus je n’ai pas apprécié que tu me mettes sous le matelas ! ».
Les conseils du Padre Pio
Un prêtre argentin avait tant entendu parler des conseils du Padre Pio qu’il décida de voyager jusqu’en Italie, dans le seul but de recevoir des recommandations utiles du padre, pour le guider dans sa vie spirituelle. Une fois arrivé, il se confessa auprès du padre et rentra chez lui, sans avoir reçu le moindre conseil.
De retour en Argentine, il était si déçu qu’il ressentait le besoin d’en parler à tout le monde. « Je ne comprends pas pourquoi le Padre ne m’a rien dit », regrettait-il, « Et moi qui ai voyagé depuis l’Argentine, juste pour ça ! » « Padre Pio lit dans les consciences et il savait bien que j’étais venu avec l’espoir de recevoir une de ses recommandations » etc.
Il se plaignait tant que ses paroissiens commencèrent à l’interroger : « Père, êtes-vous certain que Padre Pio ne vous a rien dit ? N’aurait-il pas esquissé quelque geste inhabituel ? « .
Le prêtre réfléchit posément et finalement, se souvint que le Padre Pio lui avait effectivement fait un geste un peu étrange. Il m’a donné la bénédiction finale en faisant le signe de croix extrêmement lentement, tant et si bien que j’avais pensé : cela ne va-t-il jamais se terminer ? », expliqua-t-il à ses fidèles. « Le voilà son conseil ! », s’exclamèrent-ils. « Vous le faites si vite, vous, quand vous nous donnez la bénédiction, que cela ressemble plus à un gribouillis qu’à une croix ». Le prêtre fût enchanté d’avoir finalement reçu un conseil, avec cette touche originale propre à Padre Pio.