men tal menteur...
Déjà il faut commencer par prendre conscience du moment où le mental se met en route.
C'est simple, lorsque nous parlons, pensons, laissons défiler les mots, les pensées. Répondons à nos interlocuteurs et dès que nous nous entendons ou entendons les autres dire : MAIS!!! C'est fait... le mental vient de se mettre en route.
Est-ce mal ? Non bien sûr ! Il faut alors faire un arrêt sur image... un ralenti, comme disent les commentateurs TV... et bien intégrer ce qui avait été dit, pensé avant ce MAIS, le passage de la frontière.
Avant, cela venait du cœur, maintenant c'est l'analyse.
C'est peut-être bon de tempérer les élans, les anéantir au nom d'une saine réflexion, non.
Ce mental en effet est déformé par les on-dit, les non dits, les interdits
Si une personne tombe à l'eau, si vous avez l'habitude de suivre votre menteur, pardon, votre mental, vous ne sauterez pas à l'eau, car : je sauterais bien, MAIS je ne sais pas très bien nager, je ferais mieux de faire le 18 sur le portable. MAIS ce sera trop tard ! alors un conseil, fiez vous à votre impulsion du coeur, même si le risque est grand, vous grandirez.
Benoit en ITA
